Comme un fumigène
Il s’agissait d’organiser une filature du jury et de proposer des actions furtives sur leurs chemins, leurs lieux de travail, dans le métro… D’abord seul puis à plusieurs, ces gestes étaient repris et de plus en plus visibles. Le tout se clôturait par une fête organisée le 21juin dans le jardin de la direction des Beaux-Arts de Paris. Une fête de la jeunesse dans un lieu quasiment privatisé par le directeur de l’époque. Pendant la fête, apparaissent comme des réminiscence ou des bugs informatiques, des traces, des indices, des reenactement des actions déjà vécues par le jury pendant le mois précédent.